Redaktor:Jfblanc/Poznamky

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O okcitancine[upraviť | upraviť zdroj]

[1] (pôvodný dokument: http://aprox.government.gov.sk/iap/regtrans.nsf/0/9b00bd976f8a065d412565fb003a4d46/$FILE/Mk-sr02.doc)

CORLEONE a iní: Normy vo veci ochrany jazykových menšín (169).


NOVÝ TEXT VYPRACOVANÝ UŽŠÍM VÝBOROM


Čl. 1.

     1. Úradným jazykom republiky je taliančina. Pri realizácii článku 6 ústavy a v súlade so všeobecnými princípmi stanovenými európskymi orgánmi, republika ochraňuje jazyk a kultúru populácií: albánskej, katalánskej, germánskej, gréckej, slovinskej, ........... , chorvátskej a cigánskej a tých, ktoré hovoria francúzsky, franko-provensálsky, furlánsky, ladínsky, oxitánsky a sardínsky. 

O Okcitánčine na UNESCO[upraviť | upraviť zdroj]

France Langues Officielles = Français

Langues principales d’usage quotidien = Français, Occitan, Alsacien, Arabe, Breton Allemand, Turc, Serbo-Croate, Italien, Kurde

O Okcitánčine vo ISOnormsku ;-)[upraviť | upraviť zdroj]

Identifier:  	oci
Name: 	Occitan (post 1500)
Status: 	Active
Code sets:  	639-2 and 639-3
Equivalent:  	639-1: oc
Scope: 	Individual
Type: 	Living
Code change history
Date change became effective:  	3/14/2007
Type of change: 	Update
Changed attribute: 	Scope
Old value: 	Macrolanguage
New value: 	Individual language
Date change became effective:  	3/14/2007
Type of change: 	Update
Changed attribute: 	Name
Old value: 	Remove name: Provençal 

O Okcitánčine vo Francúzsku[upraviť | upraviť zdroj]

L'Occitan-langue d'Oc fait l'objet, dans le cadre de la préservation et de la transmission des formes du patrimoine linguistique et culturel de la nation, de toute l'attention du ministère de l'éducation nationale. L'article 20 de la loi n° 2005-380 du 23 avril 2005 d'orientation et de programme pour l'avenir de l'école a renforcé le cadre réglementaire et pédagogique de l'enseignement des langues régionales défini en 2001-2003. Il stipule que le développement et la valorisation de ces langues doivent s'inscrire dans un partenariat étroit avec les collectivités territoriales concernées, formalisé par des conventions. S'agissant plus particulièrement de l'offre d'enseignement de l'Occitan-langue d'Oc dans les académies où cette langue est en usage, celle-ci relève de la politique des langues régionales définie au niveau de l'académie par le recteur. Par ailleurs, depuis la mise en place en 1992 de la section Occitan-langue d'Oc au CAPES, l'augmentation du nombre de postes ouverts au concours externe a permis de couvrir la demande d'enseignants dans cette spécialité. En effet, à la rentrée 2006, le nombre des néotitulaires à affecter issus des concours 2005 a été supérieur au besoin d'enseignement. Au cours de l'nnée scolaire 2006-2007, 156 certifiés ont participé à l'enseignement de l'occitan-langue d'Oc à hauteur de 1 437 heures hebdomadaires, alors que ces enseignants pouvaient dispenser 2 800 heures. À cet égard, il y a lieu de mentionner qu'une partie de ces enseignants est affectée en établissements et est sollicitée uniquement en occitan, la bivalence statutaire de ces personnels n'étant utilisée qu'en complément de service. Dans cette situation, le maintien d'un niveau annuel de recrutement (4 postes au CAPES externe reconduit pour la session 2008), tout en assurant la pérennité de la filière universitaire, permet de conforter l'enseignement de cette langue régionale dans l'ensemble de ses modes d'apprentissage. En ce qui concerne les programmes d'enseignement, celui d'Occitan-langue d'oc pour l'école primaire a été fixé par l'arrêté du 25 juillet 2007 paru au Journal officiel n° 192 du 21 août 2007. L'arrêté du 20 mars 2007 paru au Journal officiel du 5 avril 2007 fixe les programmes de l'enseignement de langues régionales au palier 1 du collège, notamment pour l'occitan-langue d'oc. Ces programmes sont applicable à partir de la rentrée de l'année scolaire 2008-2009. Enfin, l'enseignement des langues régionales, comme tous les enseignements et toutes les disciplines qui sont présents à l'école et au collège, a un rôle à jouer dans l'acquisition du socle commun de connaissances et de compétences. Cet enseignement qui contribue à l'acquisition de la culture humaniste développe également des compétences sociales et civiques.

REGIONALES. Rapport de Monsieur Bernard Poignant Maire de Quimper A Monsieur Lionel Jospin Premier Ministre)

* L'occitan. Cette appellation a été retenue dans la nomenclature établie par la loi Deixonne. Les académies concernées par l'enseignement de l'occitan sont les suivantes : Nice, Grenoble, Aix-Marseille, Clermont Ferrand, Montpellier, Toulouse, Limoges, Bordeaux et, pour une faible partie, Poitiers. Cette langue est également parlée et enseignée en Espagne (au Val d'Aran où elle bénéficie d'un statut officiel) et dans un certain nombre de vallées italiennes des Alpes. Parmi les langues régionales, l'occitan se caractérise par son extension géographique, de loin la plus importante ramenée au territoire français, et par une production culturelle -en particulier littéraire- au prestige certain, à la fois très ancienne et vivace.


4. Les dialectes de la langue officielle

Par définition, les variétés de la langue officielle ne sont pas du ressort d'un texte qui entend protéger les langues minoritaires, rendues précaires par l'extension, le rayonnement et l'officialisation de cette langue. Il convient donc de préciser la situation dialectale du français "national et standard".

Que l'on adopte, pour expliquer sa genèse, la thèse traditionnelle et contestable d'un dialecte d'oïl (le supposé francien) "qui aurait réussi" aux dépens des autres, ou que l'on y voie la constitution très ancienne d'une langue commune d'oïl transdialectale, d'abord écrite, puis diffusée (8), le français "national et standard" d'aujourd'hui possède une individualité forte, qu'a renforcée l'action des écrivains, de l'État, de l'école, des médias. Il en résulte que l'on tiendra pour seuls "dialectes" au sens de la Charte, et donc exclus, les "français régionaux", c'est-à-dire l'infini variété des façons de parler cette langue (prononciation, vocabulaire, etc.) en chaque point du territoire. Il en découle également que l'écart n'a cessé de se creuser entre le français et les variétés de la langue d'oïl, que l'on ne saurait considérer aujourd'hui comme des "dialectes du français" ; franc-comtois, wallon, picard, normand, gallo, poitevin-saintongeais, bourguignon-morvandiau, lorrain doivent être retenus parmi les langues régionales de la France ; on les qualifiera dès lors de "langues d'oïl", en les rangeant dans la liste.

Cette disjonction entre le français "langue nationale standard" et les franc-comtois, wallon, picard, etc. tenus à bon droit comme langues régionales, est à opposer à la situation que montre l'occitan. Celle-ci pourrait être qualifiée de conjonction, l'occitan étant la somme de ses variétés. L'unité linguistique est en effet fort nette, même si une diversité interne est perceptible. Cinq grands ensembles au moins sont repérables : gascon, languedocien, provençal, auvergnat-limousin et alpin-dauphinois. Des subdivisions plus fines sont possibles (vivaro-alpin ? nissard ?) ; elles relèvent toutefois moins de la linguistique que de la géographie, voire de la politique.

Aj: Langues parlées par des ressortissants français sur le territoire de la République.

France métropolitaine

- dialecte allemand d'Alsace et de Moselle
- basque
- breton
- catalan
- corse
- flamand occidental
- francoprovençal
- occitan (gascon, languedocien, provençal, auvergnat-limousin, alpin-dauphinois)
- langues d'oïl : franc-comtois, wallon, picard, normand, gallo, poitevin-saintongeais, bourguignon-morvandiau, lorrain. 
- berbère (11)
-arabe dialectal (12)
- yiddish
- romani chib (13)
- arménien occidental

L'article L. 312-10 du code de l'éducation a réaffirmé la possibilité de dispenser un enseignement des langues et cultures régionales tout au long de la scolarité dans les régions où celles-ci sont en usage. L'éducation nationale se doit de faire vivre ce patrimoine culturel, de veiller au développement des langues régionales et de contribuer à leur transmission. Oublier cette responsabilité ne serait pas un signe de modernité. Ce serait au contraire une perte de substance de l'héritage culturel national. L'enseignement des langues et cultures régionales favorise la continuité entre l'environnement familial et social et le système éducatif, contribuant à l'intégration de chacun dans le tissu social de proximité. Cet enseignement s'applique actuellement au basque, au breton, au catalan, au corse, au créole, au gallo, à l'occitan-langue d'oc, aux langues régionales d'Alsace, aux langues régionales des pays mosellans, au tahitien, ainsi qu'aux langues mélanésiennes (drehu, nengone, païci, aïje).

Programme transitoire d’enseignement des langues étrangères ou régionales au cycle des approfondissements de l’école primaire A. du 30-5-2003. JO du 11-6-2003 (NORMENE0301160A)

page 30 V - Occitan - langue d’Oc (fichier au format .pdf - 6 pages - 224 Ko)

Programme d’enseignement des langues étrangères ou régionales à l’école primaire A. du 30-5-2003. JO du 11-6-2003 (NORMENE0301159A)]

page 74 VI - Occitan - langue d’Oc (fichier au format .pdf - 8 pages - 224 Ko)

Prvý: ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/bo/2003/hs2/occitan1.pdf

Druhý: ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/bo/2003/hs2/occitan2.pdf

Jacques Chirac 1995 - 2007

Jacques René Chirac, né le 29 novembre 1932 à Paris, est un homme d'État français, qui exerce les fonctions de Président de la République française depuis le 17 mai 1995. Il a été Premier ministre de 1974 à 1976 et de 1986 à 1988. Il est également coprince d'Andorre depuis 1995.

Né le 29 novembre 1932 à la clinique Geoffroy Saint-Hilaire (cinquième arrondissement de Paris), Jacques René Chirac est le fils d'Abel François Chirac (1893-1968), administrateur de société, et de Marie-Louise Valette (1902-1973), femme au foyer. Tous deux proviennent de familles de paysans — même si ses deux grands-pères sont instituteurs — de Sainte-Féréole, en Corrèze. D'après Jacques Chirac, son nom « a pour origine la langue d'oc, celle des troubadours, donc celle de la poésie ».

O Okcitánčine v Taliánsku[upraviť | upraviť zdroj]

Art. 2. In attuazione dell'articolo 6 della Costituzione e in armonia con i princípi generali stabiliti dagli organismi europei e internazionali, la Repubblica tutela la lingua e la cultura delle popolazioni albanesi, catalane, germaniche, greche, slovene e croate e di quelle parlanti il francese, il franco-provenzale, il friulano, il ladino, l'occitano e il sardo.

Art. 1. Finalità della legge

1. La Regione Calabria riconosce che la protezione e la valorizzazione delle lingue minoritarie contribuiscono alla costruzione di un'Europa fondata sui principi della democrazia e del rispetto delle diversità culturali e, in attuazione dell'articolo 6 della Costituzione e dell'art. 56 dello Statuto regionale lettera “r”, con propria Legge regionale, ai sensi degli articoli 2 e 3 della Legge 15 dicembre 1999, n. 482, tutela le parlate della popolazione albanese, grecanica e occitanica di Calabria e promuove la valorizzazione e divulgazione del loro patrimonio linguistico, culturale e materiale.

Art. 10. Istituti regionali di cultura

1. Ai sensi dell'articolo 16 della Legge 15 dicembre 1999, n. 482 sono istituiti tre Istituti regionali: a) e` istituito a San Demetrio Corone presso il Collegio italoalbanese di Sant'Adriano, l'Istituto regionale per la comunità arberesh di Calabria; b) e` istituito, con sede in Bova Marina, l'Istituto Regionale Superiore di Studi Elleno-Calabri (IRSSEC) per la comunità greca di Calabria; c) e` istituito a Guardia Piemontese l'Istituto regionale per la comunità occitanica di Calabria;

LEGGE REGIONALE N. 26 DEL 10-4-1990 “Tutela, valorizzazione e promozione della conoscenza dell'originale patrimonio linguistico del Piemonte” (B.U. 18 aprile 1990, n. 16)]

Art. 3 (Conoscenza e diffusione del patrimonio linguistico regionale)

  1. La Regione favorisce:
    1. l'insegnamento e l'apprendimento;
    2. l'informazione giornalistica e radio-televisiva;
    3. la creazione artistica;
    4. l'edizione e la diffusione di libri e pubblicazioni;
    5. l'organizzazione di specifiche sezioni nelle biblioteche pubbliche di Enti locali o di interesse locale;
    6. la ricerca;
    7. lo svolgimento di attività e incontri, finalizzati a promuovere l'uso e la conoscenza dell'originale patrimonio linguistico regionale.

1 .bis) La Regione promuove, d'intesa con le emittenti pubbliche e private, l'attuazione di trasmissioni culturali e di informazione anche in lingua piemontese e nelle lingue storiche del Piemonte: occitano, franco provenzale e walser.

Il termine Occitania venne coniato nel 1290, per definire l'insieme dei territori in cui veniva utilizzata la lingua d'oc (idioma alternativo alla lingua d'oïl e a quella del sì).

La storia di questa lingua è molto antica e va fatta risalire ai primi contatti e influssi ellenici che interessarono quest'area (che si può definire delimitata dal Mediterraneo, dai Pirenei, dall'Atlantico, dal Massiccio Centrale e dalle montagne del Delfinato).

Prepotenti furono successivamente gli influssi dell'espansione dei romani in Gallia: il latino si insinuò fortemente nella lingua occitana, modificandola soprattutto dal punto di vista verbale. Le invasioni barbariche del V e VI secolo portarono altri influssi minori.

I primi scritti in lingua occitana si ritrovano nel 900 d.C., e i primi versi dei troubadours nel 1100. Dal 1100 al 1200 la lingua occitana si diffuse in tutta Europa affascinando anche molti poeti italiani e francesi.

Una delle forti componenti della cultura occitana era la strenua contrapposizione al potere cattolico: circostanza che determinò forti rivalità con il papato e la corona francese. Lo scontro fu reso più aspro dal concatenarsi del movimento eretico càtaro con lo spirito di autonomia culturale occitano. Il "cuore ribelle di Francia" divenne allora un pericolo che la monarchia non esitò a togliere di mezzo, indicendo una vera e propria crociata contro i Càtari.

Nel corso del 1400 molti intellettuali occitani continuarono a scrivere opere nella loro lingua madre, definitivamente bandita dal re di Francia Francesco I nel 1539. Da questa data la lingua occitana venne degradata al ruolo di parlata regionale e catalogata dai linguisti francesi come patois in senso dispregiativo.

Fu grazie al poeta Fréderic Mistral che, nella seconda metà dell'800, la lingua occitana riacquistò la sua dignità, potendo "risorgere " durante tutto il corso del '900.

http://www.comune.guardiapiemontese.cs.it/comune/documenti/statuto/doc/statuto_guardia_piemontese.doc Art. 1. Autonomia del Comune II Comune di Guardia Piemontese è di origine occitana. Ha lingua, costumi e tradizioni propri e costituisce una minoranza etnico-linguistica. Lo Stato italiano con Legge nazionale riconosce e promuove la valorizzazione della lingua occitana.

O Okcitánčine vo Španielsku[upraviť | upraviť zdroj]

En el conjunt de Catalunya ressalta per la seva pròpia personalitat Aran o la Vall d'Aran, territori lligat per la situació geogràfica, pels orígens històrics, per la llengua i per la cultura a les terres gascones i a la gran família occitana, però unida lliurement, a través de pacte, al Principat de Catalunya.

Article 2 - 1 L'aranès, varietat de la llengua occitana i pròpia d'Aran, és oficial a la Vall d'Aran. També ho són el català i el castellà, d'acord amb l'article 3 de l'Estatut d'Autonomia de Catalunya.

Artículo 6. La lengua propia y las lenguas oficiales 1. La lengua propia de Cataluña es el catalán. Como tal, el catalán es la lengua de uso normal y preferente de las Administraciones públicas y de los medios de comunicación públicos de Cataluña, y es también la lengua normalmente utilizada como vehicular y de aprendizaje en la enseñanza.

2. El catalán es la lengua oficial de Cataluña. También lo es el castellano, que es la lengua oficial del Estado español. Todas las personas tienen derecho a utilizar las dos lenguas oficiales y los ciudadanos de Cataluña el derecho y el deber de conocerlas. Los poderes públicos de Cataluña deben establecer las medidas necesarias para facilitar el ejercicio de estos derechos y el cumplimiento de este deber. De acuerdo con lo dispuesto en el artículo 32, no puede haber discriminación por el uso de una u otra lengua.

3. La Generalitat y el Estado deben emprender las acciones necesarias para el reconocimiento de la oficialidad del catalán en la Unión Europea y la presencia y la utilización del catalán en los organismos internacionales y en los tratados internacionales de contenido cultural o lingüístico.

4. La Generalitat debe promover la comunicación y la cooperación con las demás comunidades y los demás territorios que comparten patrimonio lingüístico con Cataluña. A tales efectos, la Generalitat y el Estado, según proceda, pueden suscribir convenios, tratados y otros mecanismos de colaboración para la promoción y la difusión exterior del catalán.

5. La lengua occitana, denominada aranés en Arán, es la lengua propia de este territorio y es oficial en Cataluña, de acuerdo con lo establecido por el presente Estatuto y las leyes de normalización lingüística.